ESPACE FURIEUX
Aurélien BoryCréation 2017 – Théâtre Visuel
Que faire pendant la matière ?
Aurélien Bory a choisi d’adapter le texte de Valère Novarina avec les élèves de l’ENSATT. Onze acteurs se partagent sur scène cette fresque de la parole. Ce dispositif central apparaît comme une sorte d’archi-sculpture. Il s’agit d’une sorte de boite géométrique qui peut se fractionner en deux parties formant deux escaliers en miroir, et ces deux escaliers sont gravis à la fois à l’endroit, mais aussi et surtout à l’envers dans un geste acrobatique fragile et sublime.
Les différentes multiplicités et la plasticité de cette installation mêlées à une recherche dans les costumes et les sons n’ont de cesse d’agencer la scène en espace des possibles, coloré comme pour s’opposer sans cesse à la masse obscure que constitue l’installation et qui parfois même s’irise de lumières blanches et bleues.
Le travail sur la lumière agrandit cet espace et crée un mouvement assez intéressant qui renforce une dimension présente dans tout le théâtre de Novarina : les mouvements lumineux mêlés aux déplacements et à l’utilisation du dispositif central dévoilent des pensées,
et c’est par le travail dramaturgique que les pensées naissent en paroles et fusent en cris de jouissance, la jouissance de se questionner et d’interroger jusqu’à son fondement.
Mise en scène : Aurélien Bory
Avec : Matthieu Astre, Pierre-Emmanuel Brault, Maïté Lottin, Marie Menechi, Charlotte Ngandeu Pougom, Fabien Rasplus, Sacha Ribeiro, Jules Robin, Aude Rouanet, Arthur Thibault Starzyk, Alice Vannie
Scénographie : Julie Guivarc’h et Mathilde Morant
Conception Lumière : Mallory Duhamel et Clément Soumy
Conception Costume : Adèlie Antonin et Mathilde Giraudeau
Conception Son : Robert Benz et Coline Ménard
Administrateurs : Margaux Bruet et Daria Porokhovoï
Que faire pendant la matière ?
Aurélien Bory a choisi d’adapter le texte de Valère Novarina avec les élèves de l’ENSATT. Onze acteurs se partagent sur scène cette fresque de la parole. Ce dispositif central apparaît comme une sorte d’archi-sculpture. Il s’agit d’une sorte de boite géométrique qui peut se fractionner en deux parties formant deux escaliers en miroir, et ces deux escaliers sont gravis à la fois à l’endroit, mais aussi et surtout à l’envers dans un geste acrobatique fragile et sublime.
Les différentes multiplicités et la plasticité de cette installation mêlées à une recherche dans les costumes et les sons n’ont de cesse d’agencer la scène en espace des possibles, coloré comme pour s’opposer sans cesse à la masse obscure que constitue l’installation et qui parfois même s’irise de lumières blanches et bleues.
Le travail sur la lumière agrandit cet espace et crée un mouvement assez intéressant qui renforce une dimension présente dans tout le théâtre de Novarina : les mouvements lumineux mêlés aux déplacements et à l’utilisation du dispositif central dévoilent des pensées, et c’est par le travail dramaturgique que les pensées naissent en paroles et fusent en cris de jouissance, la jouissance de se questionner et d’interroger jusqu’à son fondement.
Mise en scène : Aurélien Bory
Avec : Matthieu Astre, Pierre-Emmanuel Brault, Maïté Lottin, Marie Menechi, Charlotte Ngandeu Pougom, Fabien Rasplus, Sacha Ribeiro, Jules Robin, Aude Rouanet, Arthur Thibault Starzyk, Alice Vannie
Conception Lumière : Mallory Duhamel et Clément Soumy